Le décret tant attendu fixant la date de la présidentielle au-delà du 2 avril va acter le saut au-dessus de l'article 31 de la Constitution.

post Cela signifie un nouveau projet de loi qui corrige ce décalage avec la Constitution du Sénégal, dont seul le président de la République a la prérogative. Le Conseil constitutionnel, dans sa décision prudente et mesurée, parce qu'instruite, a exprimé son incapacité définitive, dans ce nouvel enjeu, à décider d'un processus.
Électoral sur un nouvel axe : l'axe de la réconciliation nationale qui va effacer un paradoxe endémique perturbant notre élan de développement soutenu : un environnement propice à notre volonté d'émergence et une arène politique en
Diffraction continue. Incompétent et discrédité, le Conseil constitutionnel est devenu organiquement illégitime pour agir.
L'enjeu principal aujourd'hui consiste en l'identification des acteurs « normaux » aptes à compétir à la date du scrutin. Ces candidats, sélectionnés par l'autorité compétente dans tous ces compartiments, feront l'objet d'une liste retenue par les lois. Le Sénégal, par la grâce divine, restera sous la gouvernance par les lois et non par la terreur animale. Face aux menaces brandies çà et là sur une éventuelle vacance du pouvoir, SAMM
SUNU SENEGAAL entend lever le voile sur l'unique et l'ultime alternative qui se dresse devant le futur proche de notre République : muter ou périr. Avec le génie des intervenants crédibles de l'arène politique et contre des leaders contrariés devenus des épigones, notre pays est en train de tisser le tapis de la voie. La
Cette mutation s'effectuera par la concentration citoyenne large, pour la sauvegarde de l'unité nationale des institutions et de nos atouts d'émergence intégrale.
Pourquoi récuser a priori une concertation citoyenne qui met au centre des termes les denrées les plus rares en Afrique et dans le reste du monde : la cohésion nationale, la paix et la sauvegarde de notre souveraineté. Pour ce faire, il est nécessaire d'avoir une compréhension éclairée des événements et des
Tâches : une détermination née du devoir bien identifié, de l'énergie pour le réaliser et du courage pour l'exprimer.
Le président Macky SALL vérifie cette équation redoutable dont la résolution scellera le destin de notre nation. Notre pays fait face à une nouvelle commande politique : face au désaccord total, les populations exigent un accord global sur les questions prégnantes qui nous Interpellent tous.  Travailler tous ensemble, les élites et les leaders, pour l'installation d'un climat constructif de participation et de responsabilisation. En soldat permanent de la Renaissance citoyenne pour la combinaison de toutes les énergies, SAMM SUNU SENEGAAL réitère son appel du 24 Mai 2022 :  Ensemble pour sauver le Sénégal. Il s'agit principalement et avant tout de donner de l'élan et de la trempe à l'engagement citoyen qui se manifeste partout, pour la préservation de tous nos atouts d'émergence intégrale : économique, social, culturel et spirituel. Ceci est un ultime appel à la masse des citoyens devenus matures, contre des leaders momifiés par des ambitions en rupture totale avec les préoccupations majeures des Sénégalais.  Cette sauvegarde à laquelle nous appelons est au-dessus et au-delà des convoitises puériles d’âmes chétives, nostalgiques de puissance de notoriété.  Tous debout pour débattre de l'avenir immédiat de notre Nation, car demain se construit aujourd'hui.
 

Cheikh Oumar Sall président de l'Association
Sam Sunu Sénégal

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Ainsi, la concertation aura lieu, par la volonté divine, et le Sénégal sera sauf.
Thiès, le 25 février 2024

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