Il lui rappel son passé récent '' de Bandit financier ''

Doudou "CAS" est le seul "ingénieur civil des ponts et chaussées", qui après 22 ans de carrière, n'a jamais réalisé un seul pont et un seul kilomètre de chaussée. Sans nul doute, voilà ce qui explique sa mutation en "cadre financier ".

Sa nouvelle vocation le mène à une série arithmétique de raison deux années d'échecs successifs à tous les postes qu'il occupe : Deloitte & Touch,

Sonatel, APIX, Banque d'affaires marocaine Capital, SOMAT et AIBD.

Ses dérives financières lui ont valu des poursuites judiciaires en 2008 et son exil en France en 2009. Son bilan après sept ans au FONGIP est plus qu'insuffisant voire calamiteux. Nous avions en effet appris qu’après son départ, Doudou Ka venait d’être rattrapé par sa mauvaise gestion. Une gestion qualifiée de « catastrophique » au point que le Fongip risquait de crouler sous le poids des créances estimées à un demi-milliard CFA. En réalité, la situation est beaucoup plus catastrophique que ce que nous décrivons puisque les créances de cette société censée…garantir les investissements excèdent de loin le demi-milliard dont nous avons fait état. La preuve par quatre puisque le Fongip vacille sous le poids de près de 2 milliards CFA de créances c’est-à-dire quatre fois un demi-milliard CFA. Tenez ! En passant le témoin à Thérèse Faye Diouf, l’ancien administrateur général avait dit avoir procédé à des financements de près de 4,7 milliards et des placements de fonds de garantie dans les banques pour un montant de 7,8 milliards CFA. Au total, 12 milliards CFA de placés en six ans de gestion à la tête du Fongip. Lequel était, sous le régime de Abdoulaye Wade (en 2008), objet d’une plainte auprès de la Division des investigations criminelles, pour malversations financières commises, en intelligence avec Nourédine El Melouki, ex-directeur général de la boîte et El Ilham, ex-directeur technique et armement, au détriment de l’ex-Somat où il officiait comme directeur financier et du système d’information. À l’époque, Doudou Kâ avait été sauvé de la guillotine par le naguère tout puissant ministre du Ciel et de la Terre, Karim Wade. Non pas par sympathie pour le tonitruant Doudou Kâ mais pour extirper des griffes des redoutables limiers de la DIC son acolyte, Nourédine El Melouki, une recommandation de sa Majesté le Roi Mohamed 6 du Maroc.

Donc pour l’AIBD-SA, Doudou CAS, a eu la prouesse de reconduire sa gestion nébuleuse avec des marchés de grés-à-grés. Au soir de sa nomination comme ministre, il a signé beaucoup de contrats d’embauche pour mettre mal à l’aise son Successeur. Il s’agit là de quelque articles de presse regroupés pour montrer la malhonnêteté intellectuel de ‘’ Doudou CAS’’

Doudou "CAS" est le seul "ingénieur civil des ponts et chaussées", qui après 22 ans de carrière, n'a jamais réalisé un seul pont et un seul kilomètre de chaussée. Sans nul doute...

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